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À propos de l’artiste…

Née en Jamaïque d’une mère française et d’un père jamaïquain, Olivia Mc Gilchrist et sa famille quittent les Caraïbes quand elle avait quatre ans. L’artiste y retourne pour y vivre et travailler (2011-2014). Depuis, sa pratique explore les notions de translocation et d’identité culturelle à travers sa double nationalité franco-caribéenne. Inspirée des espaces où elle a vécu et travaillé, elle superpose des réalités parallèles à travers la photographie, les installations vidéo et la réalité virtuelle. Elle se réapproprie les éléments appartenant au domaine de « l’exotique » puis elle les reconfigure et recartographie pour évoquer l’hybridation complexe des identités.

Olivia Mc Gilchrist a complété une maitrise en photographie au London College of Communication (2010), une formation en Design and Computation Arts (2014-2015). Elle poursuit actuellement un doctorat en arts, éducation et technologies immersives à l’Université Concordia.

Sa pratique s’intéresse aux nouvelles formes de narration visuelle immersive et à leur capacité en tant qu’expression créative de subvertir les réalités raciales, sociales et sexuelles, telles qu’elles sont catégorisées, classifiées et discriminées à travers le prisme non-occidental des Caraïbes contemporaines et de sa diaspora. Son travail s’intéresse à la performance en direct, à la poésie et à l’eau comme territoires d’immersion ouvrant sur des expériences contemplatives et interactives. À l’intersection entre l’art institutionnel et l’art populaire, elle amalgame l’art traditionnel de la transmission orale et l’installation vidéo et elle s’inspire des commentaires sur YouTube pour créer de nouveaux environnements et des expériences de réalité virtuelle.

 

À propos de l’oeuvre…

Islands (îles) sont des métaphores pour des espaces physiques condensés dans lesquels nous sommes conscients des limites de nos environnements de vie. En transposant cette notion à une expérience immersive de réalité virtuelle (installation sculpturale), nous invitons les participants à naviguer à travers un archipel de rencontres possibles dans une collection de performances captées sur vidéo 360 et de sons déconstruits qui habitent ces îles imaginaires. Submergé dans une réalité virtuelle, l’expérience sensorielle ISLAND devient un outil de décodage de pratiques expérimentales au sein d’un contexte d’installation immersive. 

 

Crédits

Soutien technique / Technical support:
Charles Forest-Latour – game engine development with Unity 3D and HTC Vive integration

Patrick Gauvin: 3D models in photogrammetry with 3DsMax and Mudbox

Phil Hawes, CDA Concordia: 360 video editing

Mention spéciale à / Special thanks to: Pricilla Acosta-Feliz: Mermaid voice

 

• Impression au jet d’encre, papier archive sans acide Fuji Premium Matte 230 g.  Format: 20×16 po. / 50×40 cm. Non encadrée.

• Prix forfaitaire de 150 $ CAN. Disponible au bureau de TOPO sans autre frais. En cas d’expédition, des frais d’envoi et d’emballage s’appliqueront.

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À propos de l’artiste…

Natacha Clitandre a complété en 2000 un B.A. en arts visuels de l’UQAM et l’université Concordia. Elle a ensuite étudié le design graphique à l’École de Design de l’UQAM. Elle a complété en 2007 un Master en Théorie et pratique de l’art contemporain et des nouveaux médias à l’Université Paris 8 et à l’ENSAD. Dans le cadre de ce cycle d’études, elle a effectué un séjour à Brown University et RISD, Providence, RI.

Ses œuvres ont été présentées dans différentes villes européennes et nord-américaines. Elle vit actuellement à Montréal, où elle travaille à la fois comme artiste et coordonnatrice à la programmation du centre d’artistes Studio XX.

 

À propos de l’oeuvre…

Photo tirée de Spectrographies du territoire, démarche propose d’explorer de l’intérieur un secteur en pleine mutation, marqué en son centre par le chantier du Campus MIL de l’Université de Montréal.

Lors de balades exploratoires, des citoyens et citoyennes d’Outremont, de la Petite-Patrie et de Parc-Extension ont été conviés à aborder leur environnement en s’attardant aux détails urbanistiques que l’on y trouve et qui symbolisent leur relation au territoire.

 

• Impression au jet d’encre, papier archive sans acide Fuji Premium Matte 230 g.  Format: 16×20 po. / 40×50 cm. Non encadrée.

• Prix forfaitaire de 150 $ CAN. Disponible au bureau de TOPO sans autre frais. En cas d’expédition, des frais d’envoi et d’emballage s’appliqueront..

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À propos de l’artiste…

Artiste multidisciplinaire des arts visuels, médiatiques et des nouveaux médias interactifs, Marie-Hélène est originaire de la Ville de Québec. Elle est détentrice d’une maîtrise de l’Université du Québec à Montréal en arts visuels et médiatiques avec des formations parallèles en danse, musique, cinéma/vidéo et programmation data flow. Son travail artistique a été présenté dans plusieurs évènements nationaux et internationaux, en Europe, en Asie, au Canada, aux États-Unis  et au Maroc.

 

À propos de l’oeuvre…

Photographie de la chute Vauréal utilisée dans l’œuvre Fluxus∞ présentée chez Topo.

Fluxus∞ est une œuvre à la fois poétique et engagée qui se présente tel un baromètre quotidien des changements de paradigmes de notre époque et de notre interrelation à l’environnement. Fluxus∞ interroge l’impact des citoyens sur le positionnement de nos sociétés en regard de l’environnement. L’œuvre met à l’honneur des paysages d’Anticosti qui sont modifiés par le flux de données de l’actualité environnementale et énergétique sur Twitter et par la présence des personnes près du mur vidéo. Fluxus∞ a été réalisée grâce à une commande d’oeuvre du Conseil des arts du Canada suite à un concours national pour être présentée en 2015-2016 sur son immense mur vidéo dans le grand hall de l’organisme à Ottawa.

 

• Impression au jet d’encre, papier archive sans acide Fuji Premium Matte 230 g. Format: 20×16 po. / 50×40 cm. Non encadrée.

• Prix forfaitaire de 150 $ CAN. Disponible au bureau de TOPO sans autre frais. En cas d’expédition, des frais d’envoi et d’emballage s’appliqueront.

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À propos de l’artiste…

Par une approche multidisciplinaire en art action, en arts visuels et en arts médiatiques, Marie-Claude Gendron tente de dégager les schèmes d’une collectivité qui s’actualise constamment dans les sphères du public, du privé et de l’intime. Elle adopte ainsi la posture d’une ethnographe provisoire qui témoigne de l’objet de ses observations par une pratique heuristique et contextuelle. Gendron s’intéresse particulièrement à la potentialité transgressive d’espaces limitrophes et à la notion trouble de frontière, à la fois imaginaires et physiques, fictives ou réelles. De l’ordre de la commémoration brute, ses projets sont des tentatives perpétuelles de figer l’impermanence et de souligner le caractère inéluctable du temps qui passe par la poésie en action. De ce fait, elle met en exergue l’inévitable transformation de l’existant.

Née à Québec, Marie-Claude Gendron développe une pratique interdisciplinaire en performance, interventions in socius, vidéo, collage et art numérique. En plus de s’impliquer dans l’organisation d’événements performatifs autogérés, elle a participé à plusieurs résidences, expositions et événements au Québec, au Brésil, au Mexique, en France, en Italie, en Irlande du Nord, en Suisse et en Thaïlande. Son travail a fait l’objet de présentations solos et collectives à la Galerie de l’UQAM (Montréal, CAN), au Bangkok Art & Culture Centre (Bangkok,TH), au Museo de medicinal laboral (Real del Monte, MX), à la Galerie des arts visuels (Québec, CAN) et dans le cadre du RIAP 2012 et 2014 (rencontres internationales d’art performance, Le Lieu, Québec, CAN). Elle s’intéresse aux différentes formes de poésie en action et à leur actualisation par le corps et l’écrit.

 

À propos de l’oeuvre…

« Une histoire de l’immédiat [en cinq actes] » raconte un récit en cinq jours qui a brouillé les limites de la surface écranique.

Dans son « atelier de l’éphémère » sur une table de travail placée devant la Vitrine de TOPO, Marie-Claude Gendron a réalisé une collection de cinq documents qui ont été mis en action en cinq actes, sur une période de cinq jours. Des archives personnelles classées par associations poétiques (une collection de notes, d’images, de photographies, de dessins, de collages, de citations et d’aphorismes) ont constituée une encyclopédie du possible en cinq chapitres.

L’action posé par l’artiste traduit le réflexe de classifier, propre à l’être humain, dans le but d’analyser ou de mieux comprendre un flot perpétuel d’images, d’impressions et de réminiscences qui assiègent notre conscience. Notre présent, depuis le numérique, a peut-être disparu ou, au contraire, s’est décuplé à l’infini.

Résolument critique, la posture de l’artiste a visé à valoriser l’espace-temps de la création qui oeuvre plus souvent qu’autrement dans l’imaginaire de la paperasse transmise à nos instances. Comme le mentionne si bien Boris Nielsony, l’artiste a installé « sa table-paradis dans une cathédrale, dans un lieu qui par les cultes de la transformation et une atmosphère, créent du temps. » [1]

[1] Boris Nielsony, (2015). Le paradis. Inter art actuel, Pauvreté, dépouillement dénuement (121), pages 76-79.

 

• Impression au jet d’encre, papier archive sans acide Fuji Premium Matte 230 g.  Format: 20×16 po. / 50×40 cm. Non encadrée.

• Prix forfaitaire de 150 $ CAN. Disponible au bureau de TOPO sans autre frais. En cas d’expédition, des frais d’envoi et d’emballage s’appliqueront.

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À propos de l’artiste…

Les pratiques combinées des artistes interdisciplinaires Alexis O’Hara & Atom Cianfarani comprennent des interventions urbaines, des installations, des performances sonores, des sculptures lumineuses et la conception d’infrastructures vertes.

Ce duo est particulièrement dédié à la subversion spatiale, le sauvetage des déchets et la renaissance d’objets. Et tu, Machine s’engage à détourner les paysages urbains et les situations sociales pour créer des circonstances qui mettent en valeur l’esprit anarcho-écolo du Queer Imagineering (génie imaginaire queer).

Et tu, Machine s’engage à créer des projets qui fusionnent les objectifs parallèles de la sensibilisation à l’environnement et le renforcement des liens communautaires interpersonnels. Alors que cette alliance est naissante, individuellement, Cianfarani et O’Hara ont des décennies d’expérience dans la production d’œuvres d’art et de projets de design à grande échelle.

 

À propos de l’oeuvre…

À la veille du projet de loi fédéral C-45, en vigueur le 17 octobre 2018, légalisant la consommation récréative du cannabis, les artistes ont transformé la Vitrine de TOPO en une chambre de culture.

CULTURE cherche à célébrer les racines psychédéliques et insoumises de cette plante tout en examinant les paramètres juridiques dans lesquels elle sera bientôt contrôlée par le biais d’une loi de 152 pages détaillant ses modes de distribution et de consommation.

Poteuses assumées, les artistes examinent l’espace liminaire que le statut de la marijuana occupe actuellement et les schismes sociaux que la légalisation entraînera. Bien que pro-légalisation, elles sont préoccupées par l’opportunisme des sociétés privées de production et de distribution en collusion avec l’État.

 

• Impression au jet d’encre, papier archive sans acide Fuji Premium Matte 230 g.  Format: 16×20 po. / 40×50 cm. Non encadrée.

• Prix forfaitaire de 150 $ CAN. Disponible au bureau de TOPO sans autre frais. En cas d’expédition, des frais d’envoi et d’emballage s’appliqueront.

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À propos de l’artiste…

Daniel Iregui est un artiste médiatique qui emploie les technologies comme vecteur d’un nouveau langage visuel. Il travaille avec les combinaisons infinies et aléatoires que peuvent produire les systèmes numériques une fois manipulés par le public. Né à Bogotá, Daniel Iregui vit et travaille à Montréal. Il est le fondateur d’Iregular, une jeune société centrée sur le contenu interactif. Le travail d’Iregui, souvent signé de son pseudonyme Iregular, a été présenté à travers le monde, notamment à la BIAN de Montréal, au Festival de Mapping de Genève, au MAB de Copenhague, à MUTEK Montréal, à MUTEK Mexico, à la Biennale des Arts Numériques d’Enghien-Les-Bains, au Glow Festival d’Eindhoven, au L.E.V. Festival de Gijòn, au Shuó Taikoo Li de Beijing et au FACT à Liverpool. Sa première exposition solo SPECTRAL EXITANCE a été présentée au Van Abbemuseum de Eindhoven en 2015.

 

À propos de l’oeuvre…

RIVER 5 est une version hyper détaillée du visuel créé pour RIVER, une sculpture interactive permanente. Les visuels sont créent par un algorithme générant constamment des motifs de façon aléatoire et infinie. Cette image capture un moment dans l’élaboration de ces motifs et nous permet d’être témoin d’un moment qui autrement serait éphémère.

La pièce originale, RIVER, est constituée d’une sculpture de mesh et d’un motif généré par logiciel. Influencé par la date, l’heure, le jour de la semaine ainsi que les sons environnants, elle réagit à l’environnement, cherchant à représenter son évolution perpétuelle.

Cette oeuvre a été commissionnée par Desjardins pour occuper de façon permanente leurs bureaux du Centre-Ville de Montréal.

 

• Impression au jet d’encre, papier archive sans acide Fuji Premium Matte 230 g.  Format: 20×20 po. / 50×50 cm. Non encadrée.

• Prix forfaitaire de 150 $ CAN. Disponible au bureau de TOPO sans autre frais. En cas d’expédition, des frais d’envoi et d’emballage s’appliqueront.